Les antalgiques et anti-inflammatoires non stéroïdiens chez le sujet âgé

La quinine est un alcaloïde naturel aux effets antipyrétique, analgésique et antipaludique. Il fit une entrée fracassante sur la scène du dopage lorsqu’il fut découvert en 1988 dans les urines de Pedro Delgado. Celui-ci remporta malgré tout le Tour de France grâce à une ambiguïté des règlements du CIO (qui ne l’interdisaient pas) et de l’UCI (qui l’interdisaient). Le Laboratoire suisse d’analyse du dopage a pu mettre en évidence qu’il s’agit d’une protéase qui a pour effet de détruire les protéines présentes dans les urines.

Dérivé de l’opium, il agit sur le même type de récepteur que la morphine et peut entraîner une dépendance. A l’arrêt du traitement, peuvent survenir anxiété, agitation et parfois hallucinations. On a constaté des surdoses mortelles chez des toxicomanes.

Salbutamol

Le rapport testostérone/épitestostérone est utilisé pour établir la positivité à la testostérone. On la retrouve, par exemple, dans l’armoire à pharmacie des Telekom en 1998. Substance présente notamment dans les épinards et ayant des effets anabolisants.

En décembre 2016, David Drouin, un jeune espoir canadien, est contrôlé positif à ce produit. Elle fut retirée de la liste des produits interdits en 2003. https://frbodysteroid.com/ Elle y retrouvera sa place en 2010 après qu’un programme de surveillance ait établi que son usage était très répandu dans la population sportive.

Le tramadol interdit dans le cyclisme par l’UCI en raison des effets secondaires

La FDA (US Food and Drug Administration) ne la considère pas comme sûre et efficace pour le traitement ou la prévention des crampes dans les jambes. Le PFC est un transporteur d’oxygène qui ne modifie pas l’hématocrite. Son stockage est très aisé (contrairement à l’EPO) mais son usage est très risqué.

Les contre-indications aux corticoïdes

Une telle douleur ne serait-elle pas une contre-indication temporaire à la pratique sportive ? Ainsi, si le tramadol n’est pas une substance dopante au sens d’augmentation des performances, ce traitement s’apparente à une conduite dopante en permettant un dépassement de ses limites. Vertiges, baisse de la vigilance et de la concentration sont les effets secondaires de la prise de tramadol. Ces effets secondaires apparaissent comme étant des facteurs de modification du comportement et d’augmentation du risque de chutes ou des gestes maladroits.

Médecine & Chirurgie Animales

Ce sont tous les produits qui augmentent la diurèse c’est-à-dire la fabrication d’urine. Pour le dopage, ils sont utilisés comme produits masquants. Les critériums d’après-Tour de France, aujourd’hui quasiment disparus en France, permettaient aux spectateurs de voir “pour de vrai” les coureurs.

Elle a des effets très similaires mais moins intenses et surtout sans provoquer d’accoutumance, à moins d’excès caractérisés. Elle est généralement indiquée pour lutter contre la toux ou les douleurs. Bien connue en tant que drogue, elle intéresse les sportifs peu scrupuleux pour ses effets psycho-stimulants et ce depuis les tous premiers six-jours. Elle développe l’agressivité du sportif et permet de repousser les limites de la fatigue.

Pour la phénylpropanolamine et la pseudoéphédrine, une concentration supérieure à 10 microgrammes par millilitre d’urine est considérée comme un résultat positif. Les concentrations de chaque substance présente doivent être additionnées. Si la somme dépasse 10 microgrammes par millilitre, l’échantillon est considéré comme positif. Substance interdite de classe A (stimulants), également connue sous le nom de norpseudoéphédrine.